Picard

Les 100 propo­si­tions, révé­lées au CESE le 9 février, sont le fruit d’un intense travail en intel­li­gence collec­tive. 

Une vision de l’en­tre­prise contri­bu­tive 

Elles donnent à voir ce que pour­rait être une entre­prise contri­bu­tive, respec­tueuse des limites plané­taires, au service de l’in­té­rêt géné­ral. 

Une entre­prise qui, bien sûr, a réussi à limi­ter son empreinte envi­ron­ne­men­tale. 

Une entre­prise qui, en inté­grant l’en­semble de ses parties prenantes, a fait évoluer son modèle d’af­faire et sa gouver­nance pour assu­rer sa péren­nité. 

Un chemin de trans­for­ma­tion

Elles proposent une mise en mouve­ment de l’en­tre­prise et iden­ti­fient les étapes qui jalonnent sa trans­for­ma­tion, quels que soient, sa taille, son secteur d’ac­ti­vité et son niveau d’avan­ce­ment. 

Elles l’écartent d’une approche linéaire et extrac­ti­viste pour l’ins­crire dans une logique dyna­mique et régé­né­ra­tive. 

Un cadre porteur pour la tran­si­tion des entre­prises

Les propo­si­tions défi­nissent le cadre favo­rable dont les entre­prises ont besoin. 

Ambi­tieux et concret, il consi­dère, respon­sa­bi­lise et engage tous les acteurs de cette trans­for­ma­tion (Europe, État, terri­toires, parties-prenantes, colla­bo­ra­teurs). 

Il soutien en parti­cu­lier la tran­si­tion des entre­prises, secteurs ou terri­toires les plus à risque et permet à l’en­tre­prise de se proje­ter en se prépa­rant aux futures évolu­tions régle­men­taires, aux niveaux français et euro­péen – CSRD, normes ESG, etc.